Le Réseau national de collaboration est un comité qui permet d’accéder à des pratiques fondées sur des données probantes, de tirer parti des ressources et des capacités d’autrui et de cibler des occasions de changer les politiques et les systèmes à l’échelle du pays dans le but d’améliorer les retombées pour les jeunes à risque qui font la transition entre l’école secondaire et les études postsecondaires, la formation ou le marché du travail.
En septembre dernier, j’ai eu le privilège de coprésider la première rencontre trimestrielle du Réseau national de collaboration aux côtés de Liz Weaver, coprésidente de l’Institut Tamarack. Ensemble, nous avons accueilli les membres du Réseau alors que nous nous embarquons collectivement dans cette mission collaborative. Puisque nous formons une table de dirigeant-e-s issus de différents horizons — tels que des représentant-e-s d’organisations au service des jeunes, des gouvernements et de la communauté d’affaires —, les discussions avaient pour principal objet de déterminer comment chacun-e de nous peut contribuer par ses expériences et ses expertises particulières. J’ai été vraiment impressionné par la diversité des connaissances représentées au sein du groupe, de même que par l’enthousiasme exprimé par chacun-e des participant-e-s face au défi passionnant qui nous attend. Nous avons entrepris d’établir plusieurs priorités pour le Réseau pour la suite de notre mandat. L’une des principales priorités abordées concerne l’importance de discuter des meilleurs moyens par lesquels nous pouvons aider les communautés à s’attaquer aux obstacles qu’elles, et plus particulièrement les jeunes qui y vivent, rencontrent.
Cette rencontre a été pour moi une formidable occasion de faire la connaissance d’un groupe diversifié de dirigeant-e-s des quatre coins du Canada, et d’apprendre de celui-ci. En cette période de confinement social et d’isolement, le Réseau national de collaboration s’est révélé un excellent moyen de maintenir des liens sociaux tout en travaillant en collaboration afin d’offrir un meilleur avenir à nos communautés et aux jeunes. Bien qu’il reste encore beaucoup de travail à faire, cette première rencontre s’est avérée une importante première étape dans le cadre de cette démarche, et j’ai hâte à notre deuxième rencontre, qui se tiendra l’année prochaine.
